Je vais vous compter une histoire. Il s'agit d'une famille qui voyageait sans la moindre crainte. Ce qu'elle gagnait pour subsister était le fruit de troque avec les autres nomades, de ventes aux étrangers. Une vie simple et modeste. Mais tout changea quand naquit un enfant qu'il nommèrent Nisrine, voulant dire "Fleur sauvage". Un prénom qui soulignait la beauté, mais aussi un aspect indépendant, une capacité futur à survivre.
L'enfant se mit à grandir et bien évidement la famille eut quelques difficulté à nourrir cette bouche en plus. Le gamin était curieux, tant vers les enseignement de son père, que vers les choses réservées aux femmes, un curiosité qui ne vint pas à s'assécher sous le soleil de plombs. Sachant que les enseignements des femmes étaient réservées aux femmes, le dénommé Nisrine devait se cacher, développer des stratégies pour apprendre sans se faire prendre. Il acquit des femmes des connaissances sur les arts comme la musique, la danse, mais aussi comment prendre soin de son corps, scrutant et écoutant les conseils des femmes dans leurs conversations.
Nisrine vint, assez tôt, de décider d'avoir un style plus féminin. Il pouvait se le permettre pour une simple raison, si son père était issu du désert, sa mère était issue d'une contrée lointaine où beaucoup avait une chevelure de la couleur du sable, ce dont il avait hérité. Aussi n'avait-il aucune crainte sur son choix, que pourrait-il lui arriver de bien grave, il était bon commerçant. Le jeune homme grandit, sa beauté ne cessant de croître, prenant soin de son apparence.
Il avait vite comprit une chose, la vie de nomade n'était pas facile et l'argent vint à manquer quand une de ses soeurs vint à tomber gravement malade. Nisrine ne pouvait se résoudre à laisser une entité quelconque emporter l'âme de sa soeur et prit une terrible décision. Il allait se fier aux rumeurs parlant d'un endroit riche, étant prêt à subir une malédiction pour sauver la vie d'une de ses soeurs.
Avec des personnes de confiance, Nisrine vint à filer, à dos de chameaux, sur le lieu aux milles richesses. Quel ne fut pas sa surprise en traversant les ruines et se trouver dans un endroit dont il avait entendu vaguement parlé, un endroit maudit. Son chameau ne put résister à une attaque surprise d'un scorpion des sables, Nisrine eut de la chance et put s'enfuir.
Le jeune homme découvrit une bien triste vérité, sa bonté l'avait perdu dans un endroit où rêve et cauchemars cohabitaient. Il se doutait qu'il ne pourrait certainement pas sauver sa soeur malade, mais ne regrettait rien d'avoir essayé, il ne restait plus qu'une chose à faire, survivre.
Le jeune homme fit preuve de beaucoup de patience, réfléchissant intensément et avec efficacité. Il avait toujours été bon pour réfléchir avant d'agir, se basant sur toute les ressources théoriques et pratiques.
Il ne pouvait se laisser au plaisir de la chair, même s'il avait entendu et lu beaucoup de chose, il n'avait jamais pratiqué à proprement parlé. Il avait des connaissances pratique dans la danse et la musique, ayant essayé de reproduire ce qu'il avait vue et entendu, se débrouillant assez bien, même si cela nécessitait du perfectionnement.
Nisrine se rendit compte qu'être esclave n'était pas joyeux et il allait devoir se faire bien voir, pour éviter de terminer avec une chaîne autour des poignets. Il se fit donc passé pour un humaine récemment libre, qui était assez bon dans les arts du divertissements. Il commença donc sa nouvelle vie comme artiste de rue.
Mais il y a une chose qu'il gardait en têt, sa folie de vouloir sauver sa soeur avait condamné cette dernière et il garderait cet acte dans son esprit pour se maudire de n'avoir pas eut assez de sang-froid et trouver un autre moyen.
Cet histoire que je vous ai compté est la mienne et je tourne une nouvelle page qui accueillera mes écrits dans cette demeure aux milles facettes.
Espace question.
Pourquoi un corps efféminé ? Tout simplement car il pousse au questionnement, attire la curiosité et aussi les pièces de monnaies. Je ne me donne guère à la chair, mais cela n'empêche pas d'enflammer les désirs de voir se corps faire glisser ses morceaux de tissus. Le charme a bien plus d'effet qu'un corps déjà dévêtu.
Homme ou femme ? Une question intéressante, à force de côtoyer les femmes, sans doute ai-je développé un côté féminin, que je laisse parler quand je sens que cela est nécessaire, notamment pour obtenir quelques avantages.
Le prix de ta virginité ? *Rougit* Elle n'est pas à vendre, si je peux vous charmer ou me dénuder devant vous, il en est tout autre de faveurs sexuelle. Je ne vends pas ma virginité ... *rougit davantage* P...pas la peine d'insister.
Sais-tu te défendre ? J'ai quelques connaissance dans la maniement du sabre et rien d'autre.